L'à faire du mois révélée,
le secret du Phénix éventé,
il brûle, puis renaît,
mais il y perd une plume.
il brûle, puis renaît,
mais il y perd une plume.
il brûle, puis renaît,
mais il y perd une plume.
il brûle, puis renaît,
mais il y perd une plume.
(...)
il brûle, puis renaît,
mais il y perd une plume.
il brûle, puis renaît,
mais il y perd une plume.
Le voilà
à poils
bon à rôtir ?
ou chat à neuf vies ?
authentiques plumes de phénix (contrôle sous huissier plumitif véreux) et carcasse du même phénix de ces bois en fin de carrière : bon à rôtir .
Pour la Mère Castor , par le détective Alfred.
Voilà une enquête sérieuse et rondement menée, sergent Alfred, je vous mets dix sur dix. (et pardon pour la méprise, oups)
RépondreSupprimerd'ici ou d'ailleurs, je rêvais d'un pays où de gras volatiles s'ébattraient tout plumés tandis que des cuisiniers toqués joueraient les serviteurs... zélés.
RépondreSupprimerMmm le ventre de l'architecte.
RépondreSupprimerest-ce qu'elles chatouillent les joues au moins? ou les pieds? (cf Fernandel...) En tout cas elles sont jolies, on imagine ce grand oiseau aux plumes roses, une splendeur (moins impressionnant cependant une fois déplumé....)
RépondreSupprimerCe Phénix entier devait être une merveille avec des plumes pareilles !
RépondreSupprimerGrand éclat de rire, merci : )) Mais pitié, ne mange pas le phénix…
RépondreSupprimerahah 500ans pour une viande de tel qualité je ne sais si c'est tendre... je le veux renaitre dit Violette
RépondreSupprimer"de telle qualité" serait mieux mais je ne me pose pas en goûteuse je refuse
RépondreSupprimerJolies plumes, et j'imagine aussi le bruit léger et harmonieux des bruissements d'ailes de papier.
RépondreSupprimerL'aile ou la cuisse? Se faire rôtir la couenne au doux soleil des bois et y laisser des plumes...quelle vie trépidante et volage cher Alfred!Ete indien pour phénix consumé.
RépondreSupprimermon truc en plumes...plumes de zoizo de zanimo...papapam pappalam...
RépondreSupprimerTrès drôle !
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