A la brune, lampes-torches et seaux,
habit de luciole,
petits et grands passeurs,
(pas 50 Salomé, mais quand même 7 -les 7 nains ?)
à la cueillette au crapaud.
Plus d'une centaine dans les seaux,
bipbipbipbipbip dans la lueur des torches,
en une petite heure de navigation d'un bout à l'autre du village.
Ceux-là pourront conter fleurette à leurs belles , plutôt que de jouer les crêpes sur l'asphalte humide.
Pas de princes - pourtant, un bien joli s'est désespérément accroché à mon annulaire ...
Et clore la fête à la grenouille : de nouveau sur l'écran Les Amours Imaginaires - ou l'histoire d'un prince qui devient crapaud.
Et ce soir, à la brune,
lampes-torches,
seaux,
sauts,
et pourpoint de luciole.
Bonne cueillette! Une pluie de crapaud, il y a de quoi raviver l'angoisse du 21.12.2012... Qu'est-ce que tu en fais une fois qu'ils sont dans le seau (c'est la question naïve du jour...)? Ici, sur la route, on croise des biches et des sangliers, un peu encombrant...
RépondreSupprimersauver les crapauds et par là même une armée de princes en puissance, belle mission.
RépondreSupprimeroh oui, devenir crapaud, par amour, juste par amour !
RépondreSupprimerLe chant des crapaud est princier. Son saut jamais raté. Sa cuisse trop musclé. Son oeil aguicheur. Et sa grande bouche est-elle celle qui dévore toutes nos lucioles ?
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