21 févr. 2012

la frontière




Indienne, Louve-Farouche,
sur nos quatre chevaux cyan,
nous avons fendu les plaines, les bosquets d'un trait de plume
le givre scintillait au bord de nos cils
cristal
un territoire, des conquêtes sous tes cils
deux traits rouges sur tes joues
Busard  nous a regardé passer 
fière chevauchée bleue sur le bleu immense du ciel
certains matins tout est possible.


5 commentaires:

  1. Lumineux, le trait; lumineux, tes mots. La lumière est partout, et on enfourcherait bien l'un des chevaux pour y cavaler ...

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  2. après le feu, la glace. ou du moins les couleurs froides qui galopent, galopent... un vent de liberté souffle sur ces images.

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  3. une féérie en bleu et blanc où la seule frontière possible est notre imaginaire...

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Bonjour, merci d'être passé dans ma cabane virtuelle . Si vous laissez une trace, je répondrais ici. A bientôt