Indienne, Louve-Farouche,
sur nos quatre chevaux cyan,
nous avons fendu les plaines, les bosquets d'un trait de plume
le givre scintillait au bord de nos cils
cristal
un territoire, des conquêtes sous tes cils
deux traits rouges sur tes joues
Busard nous a regardé passer
fière chevauchée bleue sur le bleu immense du ciel
certains matins tout est possible.
Lumineux, le trait; lumineux, tes mots. La lumière est partout, et on enfourcherait bien l'un des chevaux pour y cavaler ...
RépondreSupprimerVoilà, ça gaze.
RépondreSupprimeraprès le feu, la glace. ou du moins les couleurs froides qui galopent, galopent... un vent de liberté souffle sur ces images.
RépondreSupprimeridéal triptyque.
RépondreSupprimerune féérie en bleu et blanc où la seule frontière possible est notre imaginaire...
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