" L'image cinématographique est sans épaisseur, translucide, elle est semblable au polype fantomatique de Nosferatu de Murnau. C'est une image plate, évanescente. La couleur y apparaît comme sur des calques. Il faut de la lumière "à travers" la pellicule pour que l'image et les couleurs, transparentes et fantômes, rayonnent. Roger leenhardt note qu' "à l'écran, cette irréalité lumineuse est encore multipliée par la brièveté de l'image, et par l'imperceptible papillottement que ne peut éviter la meilleure projection"."
Jean-Louis Leutrat . Vie des fantômes ( le fantastique au cinéma) . 1995
Ou une suite possible aux fantômes de novembre,
fascination pour un jouet prodigieux,
bête comme chou,
spectre facétieux .
A piquer dans La Malle .
J'aime beaucoup votre univers et tout ce que vous nous montrez...Belle ambiance...merci pour ce moment...
RépondreSupprimerIrréalité lumineuse c'est parfait.
RépondreSupprimerLe thaumatrope est la maladie du rêveur... exquise douceur
RépondreSupprimerprolonge, prolonge, c'est beau.
RépondreSupprimer