En ce septembre qui s'étire comme chat au soleil, chaude fourrure à peine poudré d'ors, j'emprisonne le temps dans une cage de papier . Ni expulsé, ni radié du monde, juste comme du sable retenu au creux d'une main .
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les fleurs tombent à la fin de la saison
-papiers tous horizons, tissus, mécanisme de montre, perles, grelot-
Toujours cette même poésie qui me plait tant ici...Bon we,Samantha
RépondreSupprimerTu retournes la montgolfière, tu fous le feu au lac, ah il te reste encore de quoi voyager, bougresse.
RépondreSupprimerC'est adorable!
RépondreSupprimerBonne rentrée Madame Alfred!
et tombent tombent les feuilles du livre de sable de madame Alfred...
RépondreSupprimerYes, c'est nous les petits veinards! :-)
RépondreSupprimerle murmure du temps, dans aux oreiles de Vassia.
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