les papillons jaunes par milliers sur la peau verte de la terre
sa voix de piccolo qui me glisse sur l'épaule : "tout s'illumine"
le tambour de la pluie l'odeur de la pluie le parfum du goudron éclaboussé de pluie
les rivières sous la peau de mes joues , tumultueuses ( les tueuses de rêves . j'ai pensé )
sa voix de piccolo qui me glisse sur la joue : "tout s'illumine" et c'était vrai
Bonjour, quelle poésie dans tes mots et tes photos!
RépondreSupprimeret je t'ai taguée ici
http://patchcath.wordpress.com/2013/05/06/liebster-award-onze-en-pose-des-questions/
en souvenir d'un grand Chantier
Voudras-tu y répondre à ta façon?
à bientôt