A la demande de Sa Marraine La Fée , Patchouli et Alfred ont gratouillé leur cervelet et agité les doigts de concert .
Patchouli, telle Pénélope, le nez bouché mais vaillante malgré tout, a crocheté, crocheté, crocheté et voilà désormais sur mon poitrail, mon torse en peau de souris, l'Automne .
Quant à Alfred, en lisant ceci: " PLASTRON. la pièce de devant de la cuirasse que certains cavaliers portent à la guerre" *, a extirpé de son poil dans la main un coeur mis à nu sur fond de tissu précieux. Le coeur humain se rapprochant étrangement de la carte du Tendre, ni une, ni deux, sur la cuirasse qui protège mon, ton coeur : le coeur cousu et ses turbulences sentimentales à vu - ou "faites l'amour, pas la guerre".
* in dictionnaire de l'Académie française. dernière édition . tome second I-Z . Paris, F.Didot, libraire éditeur . 1849
trouvé aux puces du Jeu de Balle, Bruxelles, sous la pluie, 50c.
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palpitant et superbe duo.
RépondreSupprimerça clique, ça cloque, ça bat, ça bat, ça bat !
RépondreSupprimermagnifique!!
RépondreSupprimerPfff.. aftion, qu'ils disaient.
RépondreSupprimerje dis comme Marie, elles sont comme de précieuses pièces de musée
RépondreSupprimerJ'en viens justement !
RépondreSupprimerC'est très beau, bravo.
humm, magnifiques coloris que ceux de ces plastrons...
RépondreSupprimerwa j'adore...
RépondreSupprimerJe découvre ton univers et je me régale.