7 nov. 2010
...geométries variables...
Sous les pluies d'automne, Alfred, dompteuse de bêtes fauves et de temps sauvage, saute allègrement
de flaques en flaques,
de 39 à 40,
de pages en pages,
pas de gomme pour ôter les broderies du temps,
de la gomme pour empreinte-r vieux papiers et cartons ondulés,
pas de scalpel pour oublier les griffures du temps,
du scalpel pour creuser la gomme
et laisser une petite trace,
sauvageonne.
Et les petits carnets s'empilent,
pour laisser des traces,
fauves.
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Alors comme ça t'en as aussi, tatoos de l'histoire, Alfred il me faut ces carnets.
RépondreSupprimerOù sont-ils nom de dieu.
RépondreSupprimer2 formes extoplasmisques dorment en pleine journée..; ça laisse rêveuse
RépondreSupprimerJe les ai déjà vus quelque part ces deux là: un tigré et un tout noir, je crois bien que j'ai les mêmes.
RépondreSupprimerEt bien sûr, les carnets, qu'on attend en se rongeant les ongles...
Un an de plus qu'importe, s'il apporte plus qu'il n'emporte ! Oublions les griffures, gardons les broderies du temps... Champagne !!!!
RépondreSupprimerAh, l'univers d'Alfred me fera toujours rêver (et ses petits cahiers, alors... n'en parlons pas...)
Bises et mille pensées, à bientôt...
Le bel âge, Alfred, le bel âge.
RépondreSupprimerEt ces gommes qui inscrivent plus qu'elles n'effacent, vas-y, fais la trace !