Un temps , ô la ligne suspendue . De flottaison, dans les brumes de coing, de pomme . Un temps, ô de saison . La ligne de fuite , dans les brumes d'octobre . Gelées d'ambre, terres blanchies à l'aube . La ligne en suspension, les bras, les doigts . Les yeux, au ciel , en voyage .
(et en préparation, carnets de tout de rien , pour s'inventer des écrits de voyages immobiles, de voyages derrière les paupières).
Et les oreilles, In the flowers .
Ah ah, des carnets pour nos voyages... tu nous mets l'eau à la bouche!
RépondreSupprimerMagnifique. Je veux disparaître dans de la brume de coing. Ce sont mes dernières volontés, tu notes.
RépondreSupprimerOui des petits carnets pour voyager et rêver !!
RépondreSupprimertoujours aussi doux et poétiques!
RépondreSupprimerje vois que la pomme n'est pas tombée loin de l'arbre ;)
En attente de territoires, nos yeux scrutent la brume : Alfred, prépare ta monture.
RépondreSupprimerOh les beaux carnets !
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