en équilibre précaire,
sur le fil,
oscillant, hésitant,
ainsi chemine l'Alfred ;
soupir,
souffle court,
sommeil court ,
'où va le monde' qui tourne en rond sous le crâne .
Que disent les pieds :
'va touiller le sarrazin, fais sauter la galette,
avec un peu de chance,
elle restera en suspension ,
pile entre le jour et la nuit enfin en parfait équilibre'
Tes mots m'émerveillent... Et tes merveilles m'émeuvent.
RépondreSupprimerUne galette qui roule, roule ...
RépondreSupprimerOu une crêpe funambule ...
Le déséquilibre crée le mouvement, non ?
Existentialisme, spleen, le coup du sarrazin ça peut marcher, qu'en pensent les pieds ?
RépondreSupprimereh bien, quelle croisade... touiller le sarrazin et pourquoi pas faire tomber Jéricho...
RépondreSupprimerlunaire galette, on la croque, elle décroit en devenant croissant.
RépondreSupprimerMadame Alfred, ton buste en (...plâtre ? Terre cuite ? Papier mâché-peint-verni ?) m'intrigue, est-il inspiré de "la jeune maîtresse d'école" de Chardin ?
RépondreSupprimerLe profil est magnifique...