En ces temps de froidure, où Janvier déploie ses ailes de glaces et soulève ses paupières de givre, Alfred regarde sa main - elle est en double ... quelle bonne idée. Alfred regarde sa moitié de cerveau - il y a l'autre moitié ... quelle bonne idée .
En ces temps de bise glaciale, Alfred met son bonnet de sous-bois et fauche les grandes herbes sèches et noires ; quand sa cariole est pleine de squelettes fragiles, elle n'en remplit pas une deuxième - Janvier a la dent dure - , non, Alfred rentre dans sa cabane perchée, enflamme ses deux cheminées et regarde ses mains - elles sont bien deux .
L'index droit gratte le cerveau gauche et l'index gauche, le cerveau droit -un exercice périlleux , mais nécessaire pour sortir de la caverne crâne un personnage double face et le racontar qui l'accompagne ...
C'est La Mère Castor qui régale ... Et pour comprendre le fin mot de l'histoire, c'est ICI qu'il faut s'égarer ...
langue bifide, dans la poche ou pas, et mains à la pâte, Alfred (et madame) a vraiment du génie !
RépondreSupprimerTu en es? Chic!
RépondreSupprimerd'un coté de l'herbe givré de l'autre un froid glaciale... Prendre les deux secouer... bref tout est gelé des mains aux pieds
RépondreSupprimerJe crois bien que moi aussi, c'est bizarre.
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