Pour Adèle , un mobile futile, un mobile qui "craint dégun" ...
En deux temps trois mouvements, Alfred a suspendu à une branche offerte par l'océan :
des bouts de chiffon
(en faisant un voeu à chaque fois,
souvenir d'arbres aux feuilles de papiers et feuilles de tissu
sur l'une des îles du Prince au large d'Istanbul)
des rondelles
pour antique moteur diesel
(trésor de brocante)
des grelots
(de brocante, eux aussi)
pour que ça tintinnabule
dans le vent
et voilà,
une 'brikolette'
tout à fait ce que j'aime!
RépondreSupprimerMobile de rêve: poésie et imagination.... Quel bonheur pour Adèle!
RépondreSupprimerTrès joli!
RépondreSupprimerUne brikolette en suspension...poétique et un brin farfelue...on s'évade!
RépondreSupprimertres belle bikolette, un bien joli mobile!!!
RépondreSupprimerune mobil'ette quoi!
RépondreSupprimerAh non... pas tout à fait!
une bricolette pour jour de pluie ... ?
RépondreSupprimerqui donne envie de s'y percher, la vue y est si verdoyante et le ciel attendra bien un peu pour gronder qu'on se soit bien installé
j'ai toujours aimé les mobiles. le tien est poétique avec ses grelots, ses petits bouts de tout et de rien.
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