continent à la dérivequi m'aime me suivegouffres avidestendez-moi la mainrêves et ravinsrèglent nos moulinscalent nos chagrinsle temps écrit sa musiquesur des portées disparueset l'orchestre aura beau faire - pénitenceun jour j'irais vers l'irréeltester le matérielvoir à quoi s'adonnela Madonneun jour j'irais vers une ombrelley seras-tu ... y seras-tu ... y seras-tu ...Continent à la dériveune vague idée me guidec'est l'heure où je glissedans les intersticesà l'article de l'amourje redeviendrais l'enfant terribleque tu aimaisun jour j'irais vers l'irréelun jour j'irais vers une ombrelley seras-tu ... y seras-tu ... y seras-tu ...y seras-tu
L'Irréel , Alain Bashung, 2002
un ballet d'ombres et l'hommage à Bashung...ça colle...ça glisse...c'est beau et triste
RépondreSupprimerbises
karine
Fantômes de corps ... j'adore.
RépondreSupprimerJ'ai essayé avec un complice de faire un hommage à CE GRAND HOMME sur mon blog je n'ai pas réussi à mettre une musique cette chanson et si belle ...
RépondreSupprimerje viens du swap petit déj ...
Mikele
Merci pour ce beau moment.
RépondreSupprimerComment vas-tu ?
Tu voyages aux Antipodes? Bashung est par là-bas aussi?
RépondreSupprimerHello!SNIF BASHUNG VA ME MANQUER!!u_u
RépondreSupprimernéanmoins heureusement le soleil est revenue.!soyons positive!
kisschou