1 mai 2013

l'air de rien


les papillons jaunes par milliers sur la peau verte de la terre
sa voix de piccolo qui me glisse sur l'épaule : "tout s'illumine"
le tambour de la pluie l'odeur de la pluie le parfum du goudron éclaboussé de pluie
les rivières sous la peau de mes joues , tumultueuses ( les tueuses de rêves . j'ai pensé )
sa voix de piccolo qui me glisse sur la joue : "tout s'illumine" et c'était vrai 

1 commentaire:

  1. Bonjour, quelle poésie dans tes mots et tes photos!
    et je t'ai taguée ici
    http://patchcath.wordpress.com/2013/05/06/liebster-award-onze-en-pose-des-questions/
    en souvenir d'un grand Chantier
    Voudras-tu y répondre à ta façon?
    à bientôt

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Bonjour, merci d'être passé dans ma cabane virtuelle . Si vous laissez une trace, je répondrais ici. A bientôt